10 décembre 2009
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Suite à l'article publié récemment, et ayant encore quelques images à exposer à ce sujet, je vous présente aujourd'hui la suite de l'article sur les aiguillons.
Pour commencer, je vous avais présenté un rare cierge délicat, nommé Cereus aethiops. Un autre exemplaire nous montre ici un contraste encore plus grand entre sa spination et son épiderme :
Espostoa est un genre réputé pour ses longues soies, au point qu'on en boublierait qu'il peut aussi être piquant (ici E. melanostele) :
Voire très piquant !
Dans la catégorie des très velus, nous avons aussi la très convoitée Hildewinteria colademononis, aussi appelée "queue de singe" :
Je vous présente maintenant un autre Espostoa, moins connu que le précédent : E. blossfeldiorum.
Vu de plus près :
Enfin, un grand classique, très prisé des collectionneurs, il s'agit de Copiapoa cinerea, dont les aiguillons se détachent bien de l'épiderme glauque :
Pour commencer, je vous avais présenté un rare cierge délicat, nommé Cereus aethiops. Un autre exemplaire nous montre ici un contraste encore plus grand entre sa spination et son épiderme :
Espostoa est un genre réputé pour ses longues soies, au point qu'on en boublierait qu'il peut aussi être piquant (ici E. melanostele) :
Voire très piquant !
Dans la catégorie des très velus, nous avons aussi la très convoitée Hildewinteria colademononis, aussi appelée "queue de singe" :
Je vous présente maintenant un autre Espostoa, moins connu que le précédent : E. blossfeldiorum.
Vu de plus près :
Enfin, un grand classique, très prisé des collectionneurs, il s'agit de Copiapoa cinerea, dont les aiguillons se détachent bien de l'épiderme glauque :